L'essentiel pour les écrivains africains ne consiste pas à écrire forcément dans une langue africaine, mais le tout de cette question réside dans la nécessité d'apprendre aux Africains à lire leurs langues maternelles "comme on prépare le Français, le Chinois ou le Russe à lire les leurs", soutient le Congolais Alain Mabanckou qui devrait publier en janvier prochain chez Fayard un essai intitulé "Le sanglot de l'homme noir".
Mabanckou laisse entendre que le fond du débat opposant les écrivains africains sur cette question revient au fait que certains suspectent d'autres d'être déconnectés des réalités africaines pour en arriver à n'écrire qu'en français.
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