"Ce n'est pas moi qu'il faut rééduquer, mais le régime", répond Saha Bugouon, en rendant le dernier soupir, au tortionnaire qui l'accuse d'avoir voulu déstabiliser les institutions.
Rescapé d'une grève d'étudiants réprimée dans le sang, le jeune homme décide de quitter l'université et de rentrer continuer au village la lutte pour la justice et l'égalité sociale.